Société

Cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques : désir d’appartenance, instrumentalisation et paillettes

La sociologue Fania Noël nous livre à chaud une analyse sur la cérémonie d’ouverture des…

Que faire si le RN arrive au pouvoir ?

Quelques pistes pour organiser la résistance face au fascisme. Et ce même si le RN…

Sugar Tata, ou comment parler de diabète sans culpabilisation 

Sugar Tata (2023) est une performance qui s’élabore comme un cheminement vers la guérison. Au…

Pourquoi c’est si dur de pécho avec des dents pourries

La journaliste Lucie Inland nous parle de ses dents pourries et de celles des autres.…

Résonances astrales. #1 Transmutations plutoniques

Dans cette nouvelle série de chroniques, l’astrologue Marion Versatile, thérapeute et artiste transdisciplinaire aux nombreux…

« Parlons de santé mentale »: folie douce et discours tièdes

Les productions médiatiques sur la santé mentale se sont multipliées, mais quelles discussions servent-elles ?…

Magazine Julie : hommage à la presse qui prend soin des jeunes filles

Consacré aux jeunes filles âgées d’entre 10 et 14 ans, le magazine Julie a fêté…

« Réarmement » : Macron est en guerre, mais contre qui ?

Le nouveau credo d’Emmanuel Macron : l’ordre, le mérite, le travail. Le 16 janvier, lors…

La Flash Cocotte, nuit éternelle de tous les désirs

Dans ce cycle de 5 chroniques, l’auteur et journaliste Hanneli Victoire décrypte certains phénomènes pop…

Xavier Dolan, le golden boy queer d’une décennie

2009, festival de Cannes. Un jeune réalisateur québécois de tout juste 20 ans se présente sur la croisette. Son premier film, J’ai tué ma mère, bricolé avec une petite subvention de la région Québec, a été sélectionné dans la prestigieuse catégorie Un certain regard. Un an après, il récidive avec Les amours imaginaires, délicieuse comédie dramatique sur fond de Dalida. Dès lors, son nom est sur toutes les bouches. Son esthétique colorée unique, ses playlists kitsch et chics, et surtout son omniprésence au générique – de réalisateur à monteur en passant par acteur – font de lui un petit ovni du cinéma indépendant. Ouvertement gay, ses films le sont aussi. À lui seul, Xavier Dolan a façonné une bonne partie de l’esthétique queer d’une décennie.