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Pour ce second volet des Résonances astrales, notre chroniqueuse astro Marion Versatile nous plonge dans…
La sociologue Fania Noël nous livre à chaud une analyse sur la cérémonie d’ouverture des…
Plus de deux cents artistes et travailleur·ses de l’art ont signé une tribune dénonçant les…
Dans cette nouvelle série de chroniques, l’astrologue Marion Versatile, thérapeute et artiste transdisciplinaire aux nombreux…
Le rendez-vous annuel de la scène artistique émergente a lieu jusqu’au 28 avril 2024 avec…
Le vendredi 15 mars H•Alix Sanyas et Bye Bye Binary investissent La Station – Gare des Mines avec leur expo LEADER PRIDE, restitution d’une résidence lors de laquelle iels ont travaillé sur une fonte à haut potentiel de lisibilité : LOVE & RAGE. Vernissage dès 19 h. After party de l’exposition à partir de 21 h. Préventes ici.
Du 12 au 16 mars à Lille, le Théâtre du Nord accueille Woke, la première…
[Explicit content] Notre chroniqueur Charles Wesley, auteur de la série des Transvocalités, nous a concocté…
Dans ce cycle de 5 chroniques, l’auteur et journaliste Hanneli Victoire décrypte certains phénomènes pop…
2009, festival de Cannes. Un jeune réalisateur québécois de tout juste 20 ans se présente sur la croisette. Son premier film, J’ai tué ma mère, bricolé avec une petite subvention de la région Québec, a été sélectionné dans la prestigieuse catégorie Un certain regard. Un an après, il récidive avec Les amours imaginaires, délicieuse comédie dramatique sur fond de Dalida. Dès lors, son nom est sur toutes les bouches. Son esthétique colorée unique, ses playlists kitsch et chics, et surtout son omniprésence au générique – de réalisateur à monteur en passant par acteur – font de lui un petit ovni du cinéma indépendant. Ouvertement gay, ses films le sont aussi. À lui seul, Xavier Dolan a façonné une bonne partie de l’esthétique queer d’une décennie.