Quelques visages du minimalisme en musique à travers les époques…
Piano Phase, Steve Reich, 1967.
Steve Reich est l’un des compositeurs à l’origine de la musique minimaliste (dite aussi répétitive) qui voit le jour dans les années 1960 aux Etats-Unis.
Son travail, essentiellement basé sur la répétition et le déphasage, est ici illustré par une chorégraphie d’Anne Teresa de Keersmaeker.
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https://www.youtube.com/watch?v=_YU3XIAgn9o
Einstein on the beach, Philip Glass, 1976.
« Opéra » tout à fait innovant composé en 1976 par Philip Glass, autre père de la musique minimaliste américaine.
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The Robot, Kraftwerk, 1978.
Kraftwerk, groupe allemand qui a joué un rôle majeur dans l’émergence de la musique électronique à partir des années 1970.
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Rectangle, Jacno, 1979.
Jacno ou le minimalisme version eighties, précurseur des schémas pop et électroniques qui auront le vent en poupe jusqu’à nos jours.
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Rythm of Vision, Robert Hood, 1994.
Robert Hood, l’un des pionniers de la musique techno, née dans les années 1980 à Détroit.
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The Bells, Jeff Mills, 1997.
Jeff Mills, autre fondateur majeur de la techno de Détroit.
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Queer Fellow, Paul Kalkbrenner, 2008.
Paul Kalkbrenner, l’un des représentants les plus populaires de la techno minimale allemande moderne, qu’on retrouve notamment dans le film Berlin Calling (2008).
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Sur la planche, La Femme, 2010.
La Femme, jeune groupe moderne symptomatique d’un important mouvement de retour à une musique qui mélange héritages coldwave et minimaliste.
Eléna Tissier
Le comble du minimalisme, c’est John Cale!
https://www.youtube.com/watch?v=JTEFKFiXSx4