Nous avons participé cette année à la 6e édition du festival l’Arbre qui Marche, un éco-festival de musiques du monde et de pratiques artistiques. Un festival sans alcool, écologique, ouvert à toute la famille, et même aux animaux.
Sur le site de nombreux ateliers sont mis en place, allant de la peinture à la sculpture, des arts du spectacle à la pratique d’instruments traditionnels, de la plantation d’arbres à l’éco-construction, ou encore du yoga à la danse africaine. On peut également découvrir les différentes associations, artisans et artistes présents lors de conférences, débats, animations ou spectacles. De quoi bien s’occuper !
Après avoir mangé bio, bu du chaï et rechargé sa batterie d’appareil photo en pédalant, nous voilà prêts à assister aux concerts. On peut alors danser sur le rythme des djembés, du beat box ou de diverses percussions, et savourer le timbre du didgeridoo, de la guimbarde ou encore des chants traditionnels. Un voyage qui tend vers l’exploration de nouveaux horizons musicaux.
L’idée n’est pas ici d’avoir un public uniquement passif, mais de le rendre conscient et actif à travers la musique, des ateliers, des animations, où celui-ci découvre, pratique, expérimente. En plus de la démarche écologique et énergétiquement autonome mise en place, le festival s’ouvre à un mode de vie alternatif dans le respect et la communion de l’homme et son environnement.
Ce qu’on retiendra du festival : un beau moment d’initiation, de partage, de rencontres et de découvertes.
Article et photographies par Inès Bégu.