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Le Syndicat des Scorpions éveille les souterrains

Le Syndicat des Scorpions éveille les souterrains

Dans le paysage grouillant des petits labels émergents, Le Syndicat des Scorpions, basé à Metz, éveille ces derniers temps la curiosité des diggers avertis, et se bâtit peu à peu une souterraine réputation d’estime.

Concrètement, que peut-on écouter jusqu’ici sur la webosphère ?

Trois sorties disponibles intégralement sur Bandcamp (et achetables en vinyles) : un split de Maraudeur et Purpur Spytt, un album de Régis Turner, et un EP de Nina Harker.

Signes distinctifs ?

Pas mal de choses… On notera entre autres des visuels loin des standards léchés et industriels, un goût prononcé pour le DIY, l’authentique et le no-com’, la présence de deux basses sur scène chez Maraudeur, un certain nombre de femmes (oui oui, ça reste original encore en 2017), du chant multilingue…

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À quoi faut-il s’attendre ?

De la création contemporaine. Des gens qui essaient de faire un truc à eux. Si on nous forçait à ranger ces œuvres dans des bacs à la Fnac, on utiliserait peut-être des mots comme rock alternatif, post-punk, synthrock expérimental… pour aiguiller le responsable de rayon. Mais bon, en fait ce sont surtout des gens qui osent prendre des libertés, et c’est peut-être d’abord pour ça que les ponceurs de soirées souterraines les aiment tant.

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